Véga the star of Las Vegas ( En Cour ) {Permission de poster en RP

+Nom : Soroi

Prénom : Michael ( Maïkeul ) Véga

Surnom : Mick ( Maïk ) / Véga

Age : trente deux ans

Poste demandé: Bras droit du directeur, homme a tout faire, en particulier la paperasse.

Tics :

- Tout objet rond et plat subissent un traitement particulier chez lui : il passe son temps à les retourner entre ses doigts. La mauvaise habitude de l'attente sur une table de poker.

- Il a tendance à placer régulièrement, si ce n'est souvent, des mots étrangers dans ses phrases, n'étant plus habitué à sa langue maternelle.

- Il mange systématiquement trois fruits par jour, en particulier des nectarine, à défaut des pommes.

- Il emmène ses draps partout, à cause de son sens olfactif sur-développé.

Autre :

- Il a un odorât développé à l'excès
- Il a une culture assez nulle en musique en dehors du classique et du jazz.
- Il évite au maximum toute forme de médicaments, mais est obligé d'en user régulièrement.

Description Morale :

Calme… Dieu, quel mot magnifique… Hum, voyons que dire à propos de moi… C’est-à-dire qu’avec l’âge, si je me tolère je ne m’intéresse plus guère. Je ne suis pas quelqu’un de particulièrement spéciale. Je suis d’un naturel paisible, je réfléchis beaucoup. Sur le monde, sur les gens, sur notre société. Je suis ce qu’on appelle un intellectuel. J’aime l’art, la peinture, les livres, ce genre de choses. La dimension qu’un tableau peut ouvrir parallèlement à la réalité me fascine.

… Je ne suis pas physique, voilà. Bon, certains disent que c’est égal à la tafiole de base, mais je ne suis pas d’accord ! J’ai du sarcasme, un cerveau qui marche très bien – et sûrement mieux que la plupart des gens ici présents –je suis contre la violence brute, c’est tout !..... Sauf dans certains cas.

C’est-à-dire. J’ai ce qu’on appelle couramment une double personnalité. Enfin ça peut vaguement en donner l’impression. Je ne frappe jamais personne : je fais abattre ou tabasser. La seule extrémité pour me mettre de mauvaise humeur est soit d’être extrêmement patient, soit de très bien me connaître. Je ne montre jamais mon exaspération, ce que je ressens le plus souvent face à quelqu’un de lourd, c’est de l’ennui, tout simplement. C’est compter le nombre de fois où je me suis fait casser la gueule parce que j’avais tourné les talons en pleins milieux d’un jet d’insultes acides versées à mon intention… Ça n’arrive plus maintenant, je suis trop bien entouré, trop bien protégé.

Mon atout principale, à savoir la réflexion, à tendance à m’apporter beaucoup d’ennuis. Je comprends trop bien, trop vite, et manipule avec une perfection innée ( sans modestie… haha… ) Ca en gêne un certains nombre. En général, grâce à mon hypocrisie verte, je ne me fais pas trop d’ennemis… Ces derniers temps ça à changer.

N’allez pas croire que je suis un agneau. Si je ne pratique pas moi-même la torture, c’est moi qui l’invente, et j’ai abattu bon nombre de mes ennemis personnellement. Je suis du genre qui assiste à tout, file comme une ombre et dirige tout sous cape. Je tire les ficelles. Le monde me respecte, et je sais me faire respecter. Ils n’aiment pas me voir hausser le ton, et j’ai des appuis très fiables.

Un agneau… Quelle blague…


Description Physique :

Environ midi sur la ville de Las vegas, le soleil pleins Sud, éclaire la terrasse d’un café coincé entre un cyber et une papeterie bio.

Une femme, perchée sur des talons de six centimètres, le teint clair de poupée luxueuse, parcourt le pavé à grandes enjambées, trébuche, se redresse gracieusement et poursuit son chemin jusqu’au café. Elle est vêtue d’une robe de satin rouge et tiens à la main un petit sac marron. Elle fait un signe à une cliente, assise à la terrasse, qui déguste un caféccino aussi noir que son pull. Elle doit avoir une dizaine d’année de plus que la femme aux talons.

La jeune s’assoit en face de la vieille en s’agitant.

- Audray, tu ne sais pas qui j’ai croisé aujourd’hui !?

Non, répond l’autre. « Devine ». Alors elle cherche, et ne trouve pas.

- Il à les cheveux qui tire sur le blanc, tu sais, très clair, magnifique,
Avec une ondulation soyeuse.
- Long ?
- Oui, assez. Il les attaches en queue de cheval.

Des cheveux de soi, reprend l’autre. « Et son visage ? » Fin, plutôt viril… « Ho, c’est un homme. » Le teint hâlé il porte très bien le blanc.

- De quelle couleur sont ses yeux ?
- Je ne sais pas, on ne les voit jamais. Mais je crois qu’ils sont noirs.

Noirs, très beau, calculateur, dissimulé derrière des lunettes rectangulaires, toujours la même paire depuis qu’il en porte. Il a les traits à la fois durs est fin, Un grand sourire sardonique et cruel qui s’ouvre sur une rangée de dents digne d’ultrabrice…

- De longues mains, fortes et fières… Il a un port de tête magnifique…
- Tu ne serais pas un peu amoureuse toi ?
- Ne dis pas n’importe quoi, ce genre d’homme est mauvais à marier.
- Fuck à la fin, de qui tu parles !

Il marche toujours vite, son odorat est très développé, d’ailleurs il a un nez fier et droit, qui appelle au respect autant que son menton, un corps souple et finement musclé, paraît il…

- Et un putain de bon coup au lit.
- Ha ! s’exclame la vieille entre deux gorgée de son interminable caféccino, Véga Soroi ?
- Jackpot !


Histoire :

Yukô Segawa avait trente-cinq ans, mais elle ne les faisait pas. Elle ne faisait pas non plus vingt-cinq ni quarante. En fait, elle n’avait pas d’âge. Dans l’ensemble, elle n’avait pas grand-chose pour elle.

Yukô ne parlait pas car elle n’avait rien à dire et personne pour l’écouter. D’ailleurs, elle n’intéressait personne, et personne ne s’intéressait à elle. Même pas elle-même.

Elle vivait dans un petit appartement, dans un quartier quelconque. Tous les matins, elle quittait son lit à la même heure, se brossait les dents avec les mêmes gestes, déjeunait de trois toast beurrés et d’un bol de chicoré avant de partir travailler.

Son emploie consistait à boucher des tubes de dentifrices à la chaîne. En fait, elle ne les bouchait même pas elle-même. Sa fonction se bornait à la vérification sommaire d’un tapis noir plastique, et d’une machine rouge. Elle n’aimait pas son travail, et n’avait pas d’amis, ni là ni ailleurs.

Le soir, elle rentrait chez elle à pied, traversant une rivière bordée de roseaux et s’arrêtait toujours quelques minutes pour donner un morceau de pain acheté à la boulangerie à l’angle de la rue aux canards. Puis elle regagnait sa petite chambre, dans sa barre HLM, se préparait à manger une conserve et se couchait après la fin de son émission.

Pas un seul jour il ne lui était venue à l’esprit de changer ses habitudes. Jusqu’au jour où en sortant du travail, elle fit la rencontre d’un homme.

C’était un type grand, qui lui inspira tout d’abor de la méfiance. Des cheveux courts plaqués par la laque, laissaient voir un front large et volontaire, sous lequel se découpaient deux yeux noirs d’intelligence. De fines rides creusaient les coins de sa bouche, il se tenait tout droit et souple dans son costume. Jamais elle n’avait dévisagé ainsi un homme, et baissé la tête aussi rouge.

Elle fit tomber son portefeuille et le gus le ramassa avec un sourire. Il avait l’air chaleureux sous ses fines rides et son air martial. Alors elle tomba amoureuse, et il l’épousa sous une couronne de fleurs blanches.

Elle tomba enceinte et neuf mois plus tard, je naquis.

Mon père était parrain. De la mafia. En Amérique. Inutile de préciser que ma mère à déménagé après le mariage. Si elle a regretté ses conserves, son appartement trois pièce pleins de crasse n'a pas dû la retenir longtemps. J'ai passé mon enfance en tant que môme de famille parfait. je n'avait pas le droit de comprendre le métier de mon père ni ses affaires, et j'étais élevé par ma mère, trois nourrices ( dont une qui me traumatisait : Sherley. Elle avait vraiment des seins énormes ) une dizaine de tantes et une grand mère. J'ai fais mes études dans le privé, comme un bon garçon, j'étais un bon élève, on ne m'a jamais rien reproché si ce n'est ma tendance à m'écarter des autres, et un beau jour j'ai atteint le point de non retour où il faut choisir un métier.

A cette époque, j'étais autorisé à savoir de quelle organisation je faisais partie, et si je voulais y prendre part. Je n'étais pas le seul fils de la famille, mais le préféré du père, il désirait ardemment que je prenne sa place à sa mort. Il n'a pas eu besoins de me prier longtemps. Je suis entré en école de droit, dans le but de devenir avocat, pour protéger mon père et ses hommes en cas de pépins. Je suis sortie précoce de l'école de droit et j'ai pris le barreau à pleine mains, en signant sur trois ans un parcourt sans fautes. Assez pour devenir le défenseur attitré de la famille, tout en suivant parallèlement l'éducation qui ferait de moi un bon parrain.

Mon père est mort trois mois après mon vingt troisième anniversaire. Il me légua le cabinet, les armes et les hommes, ainsi que sa place. J'aimais beaucoup mon père, j'avais pour lui une sorte de respect craintif et à la fois complice qui me rendait très fière de ce qu'il était, et donc de moi même.

Pour être parrain, il faut connaître l'ordre, prendre les bonne décisions au bon moment, savoir intimider suffisamment pour faire peur, en engendrant seulement l'idée que moi même, en tant qu'homme, je sois quelqu'un de dangereux. J'ai sus faire ça parfaitement pendant cinq ans, jusqu'à un imprévue brutale : une preuve fatidique dirigée contre nous qui pouvait révéler l'activité qu'on exerçait du mauvais côté de la barrière à ces messieurs les juges. Je m'en suis sortie avec du cash, puis au barreau avec de très bon avocats, en plus de moi même. Après ça, j'ai crus bon de faire en sorte de nous faire oublier.

Je me suis retiré à Las Vegas. J'ai reprit en mains quelque casinos, étant un flambeur passionné ce ne fut pas quelque chose de désagréable.

Dirigeant d'une chaîne de l'un des plus grand casinos de las vegas n'est pas un truc très discret. Heureusement, le système veux qu'une pile de dossier soit remise pour être jugé, tamponné, pour savoir si telle ou telle personne peut être affectée à tel ou tel poste. Seulement, les jobs les moins importants sont remis en dessous de la pile : une semaine par mois en tant que maître limonadier, ils ne m'ont jamais fait chier.

Quatre ans, puis une sympathique petite lettre venant d'une mafia adverse... Qui me proposait gentiment plusieurs façons de mourir. Ils avaient crus comprendre que je n'étais pas près à rendre ma place si vite, et s'était sûrement souvenu de quelques petites affaires déplaisantes qui nous avaient mis en relations. Fuir n'est pas un truc stupide, c'est l'intelligence de celui qui veux vivre. Donc, j'ai contacté le directeur de cet établissement quasiment inconnue pour qu'il m'héberge quelque temps. J'ai changé de nom, aussi, en passant...


Saison préférée : Automne, une saison noble.

Mot préféré : Fuck. On ne vit pas en Amérique pour rien ! Calme et Silence également.

Expression préférée :

- Familiarity breeds contempt /La familiarité engendre le mépris
- Live and let live/Vivre et laisser vivre
- Necessity is the mother of invention /Nécessité est mère d'invention
-The road to hell is paved with good intentions/ L'enfer est pavé de bonnes intentions
-There are none so deaf as those that will not hear/ Il n'est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre

Ce sont plus des dictons. Il a dans son vocabulaire maintes expressions vulgaires, aussi bien française qu'anglaises ( il parle mieux l'anglais que l'Américain bizarrement ( parce que ça m'arrange aussi ! )

Plat préféré :

- Les riz de veaux au girolles
- Le caviar
- Le fois gras
- Un bon steack tatare avec de mauvaises frites.

Code : [code Bon]

P.S : Mon post, ainsi que mon histoire et ce qui en suit, à déjà été vue avec l'administratrice principale du forum... J'en ai longuement discuté avec elle nous sommes tombés d'accord. ( Par contre en ce qui concerne l'avatar si quelqu'un pouvait me rendre service en le redimensionnant pour moi je lui en serait très reconnaissant, j'ai une affinité limité avec photoshop... ) <- je remets ceci à plus tard, je ne suis pas sur d'avoir arrêté mon choix, j'éditerais en temps voulu !

BOUUUUUUUUH mon parain èoé
*lui saute dessus*

cool tu t'es inscrite enfin èoé chui fière de toi fais gaffe aux fautes °° tu dis "un adorat" à la place d'un odorat t'es pas douée XD *fuis avant de se faire taper*

breeef bonne continuation pour la suite

........... NON MAIS HO HEIN POUET ! J'ai commencé ma fiche il était trois heure, alors la différence entre o et a hein ! ( c'est ma faute à moi si les lettres se ressemblent toutes ? !!!!? )

ET JE NE SUIS PAS SENTIMENTAL NON D'UN SCHTROUMPF VENTRIPOTENT ! Sentimentaliste t'es sur que ça existe ? oo

Bon bande d'alouette mal léché c'est pas tout ça mais... Je fini ma fiche at night ( et j'ai reçu ta carte ma petite nièce, j'aime beaucoup "vieu machin" je te retiens pour la prochaine fois XD je vais aller à barbès je regarde pour lisette en passant ( ceci est du HS puissance douze mille )

je don't forget Kasisty t'en fais pas ! Tu peux même préparer le premier poste as you wish je serais peut être apte à répondre ce soir :3

c'est pas faux, je le réutiliserai à l'occasion ! merci d'avoir commencé le post en tout cas !

Bonne chance pour l'histoire, dur de raconter la vie d'un maffieux russe sentimental en voyage en polinésie... 8D -> La vie d'un maffieux Ouzbek sentimental en voyage en Afghanistan. Ne pas confondre.

j'ai commencé l'histoire elle devrait bientôt être fini. Je poste déjà le début.

ok, c'est noté !

merci, t'en fais pas j'oublierais pas c'est pas mon genre XD

Merci d'éviter le flood.....