Saido Ori
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 Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal)

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Takeru Maya

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MessageSujet: Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal)   Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal) Icon_minitimeSam 8 Aoû - 23:04

Encore une journée calme, le soleil passant à travers la vitre réchauffait le petit bureau de bois foncé qui se trouvait face à lui, laissant un fin filet s’échapper contre le mur, les autres coins de la pièce restant un peu dans la pénombre à cause des volets, elle était là.

Une boite se rangeant par si, une autre par là, elle avait faussement attaché ses cheveux avec un crayon, un carnet dans les mains, elle comptait à voix basse, vérifiant qu’elle avait tout, qu’il ne lui manquait rien.

L’odeur du propre était caractéristique à se petit couloir qui contenait trois pièces, le bureau, la salle d’examen et la pharmacie, sans compter les toilettes au cas... Elle était sur un tabouret, regardant ce qu’il lui restait en stock dans le haut de son armoire, sa montre tictaquant chaque secondes qui passaient, accrochée à sa blouse, le temps s’écoulait.

Le petit rayon de soleil vint lui piquer les yeux, réajustant ses lunettes, elle regarda l'heure et vit que sa journée allait bientôt se terminer, journée sans encombre... pourtant, elle s’attendait à tout ici, après tout Saido Ori n’était pas un lieu comme les autres.


Elle descendit de son perchoir, se cognant méchamment dans un coin de meuble...

- Zut... ça m’apprendra à être maladroite...

Elle s’avança vers sa chaise, et la fit tourner un peu sur elle-même, avant de s’asseoir dedans, comme si c’était son trône, son royaume... il est vrai que l’infirmerie était son domaine... même si elle aurait aimé qu’il en soit autrement.

Sur son bureau, elle rangea les deux dossiers qui y traînaient et passa sa main sur le bois de cèdre, le débarrassant de sa poussière. Elle fixa son regard sur un petit cadre, le caressant du bout des doigts, elle soupira doucement.


Spoiler:

- Décidément, les jours se ressemblent ici... si tu aurais vu le crique à midi, te connaissant tu aurais ri de bon cœur, en voyant la pauvre cuisinière avec une assiette de pâtes retournées sur sa tête, dit elle en riant doucement. Cet élève n’était vraiment pas content, en même temps, je le comprends, elle lui sert toujours ce qu’il n’aime pas... bon il est difficile aussi... tout va bien là haut ? demanda-t-elle en fixant le ciel bleu puis la petite photo. Aujourd’hui, on a du beau temps c’est que votre moral doit être au beau fixe non ? J’aime le croire en tout cas... dit elle en soupirant doucement.

Elle sortit une autre photo de son tiroir, plus intime et plus pénétrante, elle l’effleura avec prudence, touchant à peine le papier comme pour ne pas l’abîmer, elle la conservait à l’abri des regards, puis elle rapprocha le cadre d’elle.


Spoiler:

- J’espère que tu prends bien soins de Sachi, elle est si petite... elle était si petite quand je l’ai perdu... à peine six mois... j’aurais aimé qu’elle survive tu sais, mais je crois qu’elle n’a pas supporté de perdre son papa.

Une larmes vint s’écraser sur le bois travaillé du cadre qu’elle avait posé contre son cœur, serrant doucement la photo de la petite dans sa main gauche, sentant sa gorge se serrer à son tour au fur et à mesure que son cœur accélérait... Tous les jours, elle lui parlait, tous les jours, elle pensait à eux, tous les jours, elle se torturait...

- L’air est chaud en ce moment, mais ça reste assez agréable comparé à la canicule qu’on a eut il y a quatre ans... tu t’en souviens ? J’étais débordée au service avec tous les malaises qui arrivaient... et toi, tu devais partir pour Sydney, pour couvrir un reportage. Et finalement tu as loupé ton avion parce qu’on est resté au lit trop longtemps, expliquait-elle en essayant de sourire. Nos patrons allaient nous tuer... mais on s’en fichait bien à l’époque hein mon amour ? fit-elle en regardant la photo comme pour attendre une réponse. J’ai photocopié la photo de Sachi pour l’avoir aussi au bureau, mais je n’ose pas la mettre sous verre... la mettre sur le bureau... je ne sais pas pourquoi... je suis une mauvaise mère tu crois ?

Elle reposa la photo de sa fille dans le tiroir du bureau, la rangeant précieusement dans une petite pochette rose, elle le referma en soupirant, posant la photo de son mari sur le bureau. Son coude posé sur la table, sa tête sur sa main, elle tripotait son médaillon, fixant le petit cadre, elle retenait ses larmes.

- Oui, fit elle en direction de la porte du bureau, morceau de bois sur lequel on venait de frapper, bois dont elle attendait l’ouverture, soulagée de cette visite impromptue.
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Akabane jackal

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MessageSujet: Re: Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal)   Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal) Icon_minitimeDim 9 Aoû - 10:22

Il fait sombre......Si sombre....et je suis seul....tout seul....trop seul...
Puis finalement j’ouvris les yeux, pas en grand mais petit a petit, a lumière me piquait les yeux. J’avais les bras et les jambes engourdit, et j’avais faim ce qui me rappela que je n’avais rien mangé depuis deux jours.

Ou étais-je? Ah oui c'est vrai j’étais dans cette établissement, cette établissement dont j'avais entendu parlais, j’y étais arrivé depuis peu et n'avait sympathisé qu'avec peu de monde, mais il y a quand même quelqu'un avec qui je me suis sentit bien tout de suite, Maya l'infirmière, qu'elle belle femme et qui était qui plus est extrêmement gentil et douce.je me dit qu'il faudrait que je passe la voir dans la journée car sa compagnie me ravissait.


"Bon il faudrait quand même que je me lève*se redressât quelque peu puis s'arrêtât brusquement* a mon dos vraiment pas confortable, bon avant tout vérifier que mes affaires sont présente"

je m'assit sur mon lit, vérifiât sous mon oreiller, il y avait bien mon scalpel fidele au poste, je vérifiait aussi ma veste et mon sac et ne vit rien de suspect. Le soleil brillait dehors, quel jour étions-nous? Je ne le savais même plus et puis après tout quelle importance. Je pris des affaires propre dans mon sac et me rendit vers les douches, sur le chemin je ne rencontrât pas âme qui vive. Je pris ma douche, le regard vide en repensant a la journée d'hier, mais son dos recommençait a me faire mal, bien qu'il ne soit pas médecin il put diagnostiquer ce qui lui arrivait et décidât de passer voir l'infirmière dans la journée. Car bien que ce ne soit pas agréable ce n'était pas bien grave espérant qu'il y ait un kiné dans l'établissement.

Lorsque je revint dans ma chambre je la détaillât plus attentivement, plutôt petite bien que contenant un lit une petite armoire et un petit bureau, sa chambre était propre et ces affaires était toujours dans son sac par terre .Enfin habillé il enfilât ces gants ramassât ces scalpels et fermât sa chambre a clé. Qu’ 'allait-je faire a présent, bien sur je devais me rendre a l'infirmerie mais pas de si bonne heur. Je décidât finalement de me promener un peu, l'air était bon et les couloir propres, je déambulait comme ca pendant plusieurs minute décidant finalement de m'arrêter a un endroit. Je ne savais même plus ou j’étais et comment j’avais fait pour venir ici. Il y avait un petit banc ainsi qu'un arbre et une petite ouverture sur le ciel. Je décidât de m'assoir en fixant le ciel, se ciel si bleu, il me fessait penser a ma mère qui adorait le bleu.


"Maman.....Maman..... J’espère que tu te porte bien, malheureusement je ne pourrait jamais te rejoindre, j’ai commit trop de faute, mais ne t’inquiète pas je rejoindrait papa et je lui referais payer ce qu'il nous a fait"

Je gardait les yeux fermait repensant a se fameux soir, puis je décidait de chasser ses idées de ma tête.je décidait de détailler un peu plus l'endroit ou je me trouvais, le sol était recouvert de dalle et quelque herbe poussait entre elle, les murs recouvert de lyere et au milieu un arbre. Je me demandait vraiment ce que pouvait être cette endroit à moins que ce ne soit qu'un effet de mon imagination.

Je me levât est partit, je décidait de visiter un peu mon nouvel établissement, je tombât finalement sur une carte de l'école et je vit que j'était exactement a l'opposer de l'infirmerie.


"je m'y rends maintenant ou pas?....bon aller elle était tellement aimable."

C'est donc sur ces paroles que je partis en direction de l’infirmerie se fut après un nombre incalculable de couloir que j’aperçus enfin la porte de l’infirmerie, espérant ne pas déranger Mae. J’était en face de la porte hésitant cela m'arrivait rarement, d’ailleurs que m'arrivait t’il, j’avait chaud et après mainte hésitation je frappât enfin a la porte, presque instantanement j’entendis une voix dire "oui", j’ouvris la porte pour découvrir Maya sur la chaise de son bureau me regardant d'un air surprit et interrogateur:

"Excuser moi de vous déranger aussi tôt, bien que je sache pas l'heur exacte, je suis venu car depuis se matin j'ai un mal de dos, rien de grave mais il faudrait que je détendent mon dos hélas je ne peut le faire moi même, j’avoue aussi que je suit la car nous avons bien sympathiser et que j'aimerais bien pouvoir reparler avec vous tellement notre conversation était très aimable.".

Elle ne répondit pas tout de suite et c'est a se moment la que je vis des traces de larmes sécher sur son visage et avant qu'elle n’ait put dire un mot je dis:

"Mais je ne voudrais pas vous déranger, si ma visite vous importune je peux m'en aller?"
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Takeru Maya

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MessageSujet: Re: Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal)   Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal) Icon_minitimeDim 9 Aoû - 11:46

Elle regarda le jeune homme accolé à la porte, souriant aussi bien qu’elle le put pour ne pas montrer tout le chagrin qu’elle avait en elle. Elle se leva, et dans un mouvement ample, enleva le petit crayon de ses cheveux, les faisant tomber gracieusement sur son dos, elle s’approcha de lui, sa blouse ouverte sur sa robe noire, elle lui serra la main.

- Non, entrez, je suis désolée de vous avoir mal accueillit, Jackal c’est ça ?

Il fit oui de la tête, puis elle l’invita à entrer, et à passer dans la petite salle d’examen, juxtaposée à son bureau. Elle le fit s’asseoir, et fouilla dans ses armoires, regardant sa montre, il était presque 17h, pourtant il pensait qu’il était tôt, et vu son teint vraiment blanc, il ne devait pas avoir qu’un mal de dos.

Elle prit un baume, son stéthoscope, nettoyant ses mains avec une solution à base d’alcool, elle s’approcha de lui, l’examinant un peu, il ne semblait pas vraiment pour, mais se laisser tout de même faire, sûrement par politesse se disait-elle.

Elle le palpa un peu au niveau du dos, et sentit un de ses muscles en boules, peut être froissé après un effort quelconque. Elle lui sourit chaleureusement comme à son habitude, se mettant sur un tabouret prêt de lui et remplissant une fiche et un dossier. Elle frotta ses yeux, remettant ses lunettes correctement en place, elle ne semblait pas bavarde, pourtant.


- Vous aviez raison, ce n’est pas grave, mais je comprends que se soit douloureux.

Elle rédigea deux trois mots sur une feuille et lui tendit.

- Tenez, s’est une ordonnance infirmière pour un décontractant et un antidouleur, ça va peut être vous faire rire, car ce ne sont que des produits faits à partir de plantes, mais ils sont efficaces pour le peu qu’on les prenne correctement. Ensuite, pour votre dos voici un baume, appliquez le deux fois par jour, et faite bien pénétrer la crème.

Elle posa tout à coté de lui et repartit dans son bureau, faisant chauffer de l’eau dans sa bouilloire électrique, elle prépara une théière, et sortit quelques biscuits, puis elle revint le chercher.

- Venez ! dit-elle en l’invitant à s’asseoir au bureau, elle se plaça sur sa chaise, les jambes croisés, dévoilant un genoux légèrement doré par le soleil, laissant deviner une peau douce, elle regarda le dossier de Jackal, les bras croisés, elle pensait. Vous me paraissez un peu désorienté, il est déjà 17h passé vous savez ?

Elle le regarda et vit qu’il la fixait, elle qui n’aimait pas ça surtout avec les pathologies des élèves ici, pour une fois, ça ne la gêna pas, du moins pas pour le moment.

- Vous avez mangé au moins ?

Elle se leva versant l’eau frémissante dans la théière, et lui apportant une assiette de petits gâteaux, une tasse de thé, et une autre pour elle. Elle souffla doucement sur le breuvage, le regardant fixer l’assiette, elle sourit.

- Ils ne sont pas empoisonnés, n’ayez pas peur.

Elle se mit à rire doucement, avec toute sa douceur et sa gentillesse la caractérisant, elle se souvint du bref entretien qu’il avait eu à l’arrivée de Jackal, c’est vrai se dit-elle, leur conversation avait été agréable.
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MessageSujet: Re: Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal)   Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal) Icon_minitimeDim 9 Aoû - 13:51

Elle me regardait, elle souriait mais j’avais l’impression qu’elle se forçait un peu, ou bien c’était ma venu ce que je n’espérais pas ou bien j’étais arrivé au mauvais moment. Néanmoins elle se levât enlevât le crayon qu’elle avait dans les cheveux et s’avançât vers moi en me tendant sa main. Je lui serrât sa main, sa main était douce, fine, chaude…. :

"Non, entrez, je suis désolée de vous avoir mal accueillit, Jackal c’est ça ?"

Je fis oui de la tête ne sachant trop quoi dire, elle était vraiment belle on pouvait voir sa robe noir en dessous de sa blouse. Elle m’invitât à entrer et me fit passer dans une salle à coter qui était une salle d’examen, elle m’invitât a m’assoir ce que j’acceptai sans hésiter et c’est vrai que j’avais accumulé pas mal de fatigue.

Pendant qu’elle fouiller je la regardais, son parfum m’effleurant les narines. Elle se lavât les mains et s’approchât de moi et elle commençât a m’occulter, je fus un peu réticent au début car d’une cela fessait longtemps qu’une femme ne m’avait pas touché et de deux je me sentais un peu gêner devant elle.

Lorsqu’elle arrivât au dos je sentis ces mains douce effleurer la zone ou j’avais mal elle me confirmât ce que je penser que c’était après un dernier toucher elle enlevât ces mains, elle me sourit et s’assit sur un tabouret.

Elle remplissait sa fiche remettant ces lunette, il me semblait que quelque chose n’allait pas mais quoi ? Je ne pouvais quand même pas lui poser la question se serait impoli de ma part. Elle me tendit une feuille qui devait être l’ordonnance et me dit :


"Tenez, s’est une ordonnance infirmière pour un décontractant et un antidouleur, ça va peut être vous faire rire, car ce ne sont que des produits faits à partir de plantes, mais ils sont efficaces pour le peu qu’on les prenne correctement. Ensuite, pour votre dos voici un baume, appliquez le deux fois par jour, et faite bien pénétrer la crème."

Elle déposât les médicaments a coter de moi et repartit a coter dans son bureau elle revint me voir et me demandât de venir dans son bureau. Elle s’assit a son bureau laissant voir son genoux, je ne put m’empêcher de le regarder et de repenser a sa peau si douce, je ne le regardât que quelque instant et espérais qu’elle n’avait pas vu et finalement je m’assis :

"Vous me paraissez un peu désorienté, il est déjà 17h passé vous savez ?"

Lorsque j’entendis l’heur je ne réagit pas immédiatement, se pouvait t’il qu’il soit une heur pareille. Pendant que je réfléchissait je le na quittait pas des yeux, lorsque je me rendit comte que je la fixait depuis trop longtemps ce qui était très désagréable pour la plupart des gens, je baissât le regard perdu dans mes pensée me laissant emporter par sa voix si douce :

"Vous avez mangé au moins ?"

Ah nous voila au question embarrassante, je voulait lui répondre la vérité mais je ne voulait pas qu’elle s’inquiète, mais apparemment vu mon état elle s’inquiéterais plus si je ne répondait pas. Je vit qu’elle se levât pour verser du thé dans deux tasse, elle m’en apportât une ainsi qu’une assiette de gâteaux .Je regardait les gâteaux, bien sur j’avait faim mais cette perspective ne m’enthousiasmât pas, j’avait l’impression que par moment mes sens était ralentit, je fixait l’assiette sans bouger :

"Ils ne sont pas empoisonnés, n’ayez pas peur."

Lorsqu’elle dit ca elle se mit a rire, mais ce n’était pas un rire ironique comme j’en avait l’habitude d’entendre, c’était un rire doux joyeux empreint de gentillesse se moment la je me mit a sourire prenant une des gâteaux et le mangeant lentement en le dégustant et c’est ainsi que je prononçât une autre parole depuis que j’était arriver.

« Excuser moi si je ne parle pas beaucoup, vos gâteaux sont très bon est c’être très aimable de votre part de m’inviter a boire le thé en votre compagnie*sourire*est pour tout vous avouez je n’ai pas mangé depuis deux jour je crois, mais je préférais ne rien vous en dire pour ne pas vous inquiéter. Mais je ne savais pas quoi faire a part déambuler dans les couloirs il me semble même que j’ai eu une hallucination et pourtant je vous rassure je ne suis pas droguer. C’est Alor que je me suis souvenu de vous, de notre conversation d’hier, a qu’elle point elle avait était plaisante. Donc j’hésitais a soit venir voir Mae-in ou a venir voir l’infirmière, mais on dirait bien qu’au bout du comte j’ai trouvé les deux »

Après avoir terminer de parler je recommençât a boire le thé qu’avait préparer Maya, thé qui entre parenthèse était très bon, je voyait qu’elle buvait elle aussi, mais je voyait dans son regard de l’inquiétude vis-à-vis de moi. Ce que je voulait qu’elle ne se fassent justement pas, mais j’admets que je ne suis pas sous mon meilleur jour :


« Mais surtout ne vous inquiéter pas je ne veux pas vous accabler vous avait je le pense vos propre problème »


Je m’efforçât de me montrer au mieux de ma forme mais c’était vraiment difficile, et je vus que mes efforts n’avait pas eu l’effet escompter, elle était inquiète et cela se voyais. Pour appuyer mes paroles je me levât lui montrant que j'allait parfaitement bien, mais se geste fut de trop, j'était a peine levait depuis quelque instant qu'un immense coup de fatigue me tombât dessue me coupant les jambes, c’est ainsi que je m’écroulât comme une loque je réussit quand même a m'écrouler sur la chaise plutôt que par terre, chaise qui tenu le choc et qui ne cédât pas. Elle se levât d'un bond et vint vers moi.
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MessageSujet: Re: Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal)   Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal) Icon_minitimeVen 14 Aoû - 15:00

La tasse fumante encore entre ses mains, elle ne le regardait pas, plongée dans ses souvenirs, elle pensait à Haruma. Il n’avait quasiment pas dit un mot durant tout l’examen, il n’avait quasiment pas dit un mot jusqu’à ce qu’ils se retrouvent face à face, elle avait son dossier face à elle, sa tête penchée sur le coté, elle aurait pu le lire, tourner les pages et savoir ce qu’il avait fait, mais au fond quelle importance ça avait ?

Elle posa ses yeux sur la photo de son mari, le petit cadre était légèrement tourné vers Jackal, elle le remit devant elle, ne lui montrant que l’arrière de l’objet, où on pouvait y lire « un jour enfantin »

Pourquoi cette inscription ? Seule elle pouvait y répondre, encore fallait-il qu’elle le veuille. Elle soupira doucement, posant sa tête contre le dossier de son fauteuil, les aiguilles de sa montre semblant tourner plus vite comme si le temps s’accélérait, elle daigna enfin le regarder.

Mae-in... il était le premier à l’appeler comme ça depuis un an, ses parents essayant toujours de le faire, mais elle refusait que son entourage ne prononce son vrai prénom. Elle n’en avait pas honte, loin de là, mais avant c’était Haru qui s’amusait à l’appeler ainsi, depuis sa mort, le son produit par son prénom résonnait tristement. Pourtant, elle le laissa l’appeler ainsi, ne voulant probablement pas le recadrer sur un problème personnel, elle se remit simplement assise comme il se devait.

Elle le fixa, regardant furtivement la photo comme pour se donner du courage, elle joua nerveusement avec son alliance, elle détestait ce jour qui lui r’appelait la douleur qu’elle avait ressentit il y a un an, espérant que le téléphone ne re sonne plus jamais, elle sourit timidement. Soudain, elle le vit se lever, et vaciller, voyant ses jambes ne le supportant plus, il retomba sur sa chaise, elle se leva rapidement, prenant le tensiomètre sur le meuble à coté, elle vérifia ses constantes.


- Vous êtes épuisé, vous ne devez plus faire d’efforts inconsidérés !

Ses constantes n’étaient pas alarmantes, elles indiquaient juste qu’il était faible.
Elle repensa à ce qu’il avait dit, deux jours sans manger... elle avait connu ça aussi à une période, et elle se souvenait de la faiblesse qu’elle avait ressentit. Ses yeux posés sur l’horloge, elle soupira doucement, le voyant affaiblit, elle se doutait qu’il n’allait pas tenir longtemps.



- C’est impossible pour une infirmière de ne pas s’inquiéter.


Elle prononça enfin une phrase, cela ne lui ressemblait pas d’être aussi r’enfermée sur elle, peu bavarde, fabriquant de la jovialité, elle se créait un masque pour tenter de faire croire qu’elle allait bien, qu’elle n’était pas terrassée. Mais tout était faux...

- Ce soir, vous mangerez avec moi, je connais un petit endroit où nous pourrons aller dîner, au moins je serais sûre que vous aurez prit un repas correct, je n’aime pas aller à la cantine le soir, je ne pourrais pas voir si vous avez repris des forces, au moins j’aurais l’esprit tranquille.

Elle le vit reprendre un petit gâteau, au moins, il semblait avoir de l’appétit, c’était déjà bon signe. Elle se leva, laissant sa tasse sur son bureau, elle repassa dans la salle d’examen, et revint sans ses lunettes, ses cheveux attachés autour d’un petit pic de bois, elle avait toujours sa blouse sur elle, comme si c’était une barrière de protection. Elle avança vers la fenêtre les bras croisés, le regardant simplement, il avait toujours ses gants blancs si caractéristiques, son chapeau posé sur un coin du bureau, très classe et distingué, on avait l’impression qu’il avait plus de 20 ans, tant il faisait homme avec ses longs cheveux noirs encadrant son visage.

- Vous pouvez allez vous reposer un peu avant que l’on ne parte, je vous attendrais dans la cour pour 19h en cas, sauf si vous préférez rester ici, mais j’ai du rangement à faire, vous risqueriez de vous ennuyer.
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MessageSujet: Re: Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal)   Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal) Icon_minitimeVen 14 Aoû - 19:15

J’étais honteux de m’être écrouler ainsi devant elle, moi qui voulait la rassurer on dirait que j’avais complètement raté mon cou. Je la vis qui s’approchait de moi son tensiomètre a la main, elle me prit ma tension, il n’y avait rien de grave et me dit qu’il fallait que je me repose et que je ne devait point faire d’effort. Je n’avais rien mangé depuis deux jours mais j’avais l’impression de n’avoir pas mangé depuis une semaine. Et dans cette établissement montrer le moindre signe de faiblesse était signer son arrêt de mort, mais grâce aux journaux je jouissais d’une certaine renommer, renommer que j’espérais qu’elle n’avait pas entendu.

Je la voyait soupirer, je devait l’ennuyer a une heur pareille, mais néanmoins je put respirer son parfum quand elle passa prés de moi, parfum qui sentait extrêmement bon, mes yeux commençait a être lourd je doutait de pouvoir tenir encore bien longtemps…

Elle me dit que c’était impossible pour elle de ne pas s’inquiéter… Je souris décidément j’avais faux sur toute la ligne et m’était mal prit avec elle…..Je la regardais puis tout a cou je décelai quelque chose….étant un expert pour cacher mes sentiment je vis qu’elle faisait de même.

Derrière se visage souriant se cacher un très grande tristesse je comprit qu’elle allait très mal..J’était réellement tomber au mauvais moment…

Elle me demanda de manger avec elle se soir, mes Joux rosir légèrement….Je n’était pas habituer a tant de délicatesse…Même si elle me dit que c’était pour être sur que je mangerais, elle partit dans la salle d’examen a coter je me demandait si je devait accepter ou refusait la proposition, ayant vu qu’elle n’aller pas bien j’hésita…..Elle revint sans ses lunette un , je put distinguer plus clairement ses yeux que je trouvait magnifique :


« J’accepte avec plaisir votre offre, mais je ne veut pas vous obliger….Vous avait l’air préoccuper*je le dit d’une tel façon, ne laissant paraitre que quelque soupçon que j’avait a son égard* »

Je la vit s’appuyer contre la fenêtre et se fut imperceptible mais je le vit elle me détaillait entièrement, je rougis légèrement, je n’avais pas l’habitude d’être regardait comme ca, d’être avaliser voir disséquer, cette penser me fit sourire.

Il est vrais que j’avais plus l’habitude de disséquer que de l’être, mais les personne que je disséquer n’était que des personne qui le mériter, enfin pour moi en tout cas…..


je la laissait donc me regardait bien que cela me faisait rougir, j’était content que quelqu’un s’occupé de moi ce qui n’était pas arriver depuis de nombreuse année. Je fermai les yeux.

Elle me demandait si je voulais me reposer ici ou dans ma chambre, prétextant du rangement je me demandais si c’était vrai, mais je ne voulait pas la déranger, mais je ne me sentait pas la force de retraverser toute l’école dans cette état et surtout je ne voulait que personne ne me voit dans cette état :


« Je ne voudrais vraiment pas m’imposer….Mais cela vous dérange si je me repose un peu dans votre salle d’examen ? Si tu refuse ce n’est pas grave…mais je ne me sens pas la force de rentrer jusqu'à ma chambre…et si quelqu’un me voit comme ca…enfin tu connais mieux que moi l’établissement »

J’attendait sa réponse , patiemment, je voulait juste me reposer une heur…fermer les yeux doucement ne penser a rien d’autre……..Elle me regarda toujours son masque accrochait au visage, et puis finalement me répondit
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MessageSujet: Re: Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal)   Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal) Icon_minitimeVen 14 Aoû - 20:08

- Bien sûr, vient.

Elle s’approcha de lui, lui souriant et l’aidant à se lever, elle l’emmena à coté, il y avait une pièce à coté de la salle d’examen, avec deux petits lits posés à l’intérieur. Elle l’installa dans l’un deux et le couvrit délicatement. Elle lui mit deux oreillers dans le dos, pour qu’il puisse voir à travers la pièce pendant qu’elle terminait son inventaire.

Elle repassa dans la pièce d’à coté, ses cheveux toujours attachés, elle monta sur son petit tabouret et nettoya les étagères de la pharmacie tout en comptant ce qu’elle avait.


- C’est vrai, je ne vais pas très bien, mais ça n’empêche rien, je suis infirmière avant tout.

Elle le regarda lui souriant doucement avant de repartir dans son rangement, ils se tutoyaient depuis cinq bonnes minutes, elle l’avait remarqué, mais vu leur bon feeling, elle ne voulait pas lui r’appeler le règlement. Après tout ils ne faisaient rien de mal même si ils ne devraient pas se parler ainsi.

Elle avait vu ses joues rougir... cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas fait rougir un homme... un homme... elle ne le considérait pas comme un patient ou un élève mais comme un homme, elle soupira doucement pour ne pas qu’il entende.


*C’est pas bon ça... je dois me reprendre, il faudra que je sois prudente au dîner, pas qu’il ne pense à autre chose de ma part.*

Elle fit tomber une ampoule qui se brisa en mille morceaux, elle rouspéta après elle-même et sa maladresse légendaire, descendant de son perchoir pour ramasser ses dégâts, se coupant au passage.

Elle prononça quelques jurons en coréen, énervée contre elle-même. Elle passa sa main sous l’eau et la banda voyant Jackal l’observer, elle se mit dans l’entrebâillement de la porte, terminant son bandage.


- Ce n’est rien ne t’inquiète pas, ça m’arrive souvent depuis un an.

Elle sourit doucement, ramassant le reste des morceaux prudemment, tout en replaçant une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Elle continua de fouiller une heure durant dans ses placards, lui parlant par intermittence, du moins jusqu’à ce qu’elle s’aperçoive qu’il s’était assoupi. A partir de se moment là, elle cessa ses activités et prit sa broderie, se mettant assise sur une chaise dans l’entrebâillement de la porte, elle le surveilla discrètement.

*Tout serait moins compliqué si tu étais là... si vous étiez là... Oh Haru... si seulement je t’avais à mes cotés... si seulement tu étais encore en vie... je maudis se jour... comme j’aurais aimé que ta mère ne m’appelle pas... comme j’aimerai que tu sois là mon amour. Je me demande aussi pourquoi je me suis prise d’affection pour lui...*

Elle regarda Jackal, puis la petite robe blanche qu’elle brodait, elle savait que le bébé pour qui elle la faisait n’était plus en vie, mais elle voulait quand même lui faire son cadeau d’anniversaire.

*J’espère que tu veilles bien sur Sachi, chaque soir je l’imagine, elle t’aurait sûrement ressemblait avec ta jolie fossette et ton caractère de leader....*

Elle mordit ses lèvres, se retenant de pleurer, elle fixa la fleur qu’elle venait de terminer et étouffa un sanglot.


- Comme tu me manques...

Elle se reprit, respirant profondément, voyant qu’il n’allait pas tarder à se réveiller, elle se leva, laissant sa chaise en plan et rangeant sa création dans un petit sachet à l’abri dans un tiroir. Elle se lava doucement les mains, entendant le lit craquer, elle prit une serviette et s’avança prêt de la porte.

- Tu t’es bien reposé ?
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Akabane jackal

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MessageSujet: Re: Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal)   Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal) Icon_minitimeVen 14 Aoû - 23:33

Elle répondit par l’affirmative a ma demande de m’allonger dans la salle d’examen, je sourit j’était content elle m’éviter un long périple dans les couloirs tortueux de l’établissement, périple qui aurait pu d’ailleurs me couter la vie.

Elle m’aida a me lever, j’étais honteux de ma faiblesse mais n’en dit aucun mot, elle m’emmena dans la pièce a coter et aida a m’allonger, elle me mit deux cousin dans le do que je puisse la voir, enfin c’était surtout pour me surveiller, je la vit qui repartez dans son bureau, elle ranger, classer, noter……

Je la vi qui monter sur un tabouret pour chercher ou nettoyer quelque chose, je ne la quittais pas des yeux et je commençais à reprendre un peu de force, elle me confirma qu’elle n’allait pas bien mais ne me dit pas pourquoi, je commencer a me familiariser avec elle osant jusqu'à la tutoies…. Je ne savais si cela la déranger ou pas mais en tout ca elle n’en laissait rien paraitre…

Je ne pouvais m’empêcher de la regarder…..Pas perversement, juste la regarder…….je me demandait ce que j’éprouvais pour cette femme….de la sympathie certes …….mais étais ce vraiment tout ?

J’étais confus, je ne savais plus ce que je ressentais……je la regardais toujours, lui répondant, commençant a sentir venir la fatigue…

Je l’entendis parler toute seul mais ne comprit pas ce qu’elle disait, étant dans un état proche du sommeil. Elle semblait contrarier, elle continuait a ranger et fit tomber une ampoule, elle se gronda commençant a ramasser les morceaux et se coupa, je me redressa a moitié voulant l’aider, je me rallongea me disant que je ne pourrait pas faire grand-chose a part l’inquiéter d’avantage….

Elle marmonna jurant dans une langue que je ne connaissais pas….Elle se banda la main et regarda dans ma direction voyant que je l’observer, elle me dit que ce n’était rien et qu’elle avait l’habitude de se blesser, se fait m’attrista mais je n’en dit rien. Je la croyais qui continua a ramassé les dernier bris de verre sans se couper cette fois…Elle continuait de ranger me parlant de temps en temps mais je finit par m’assoupir sans m’en rendre compte……

Je Dormit peu mais suffisamment, reprenant des force, je repensait a mon arriver et a la conversation que j’avait eu, elle aussi avait perdu des proche, mais je ne me faisait pas d’illusion, je voyait bien qu’il n’y aurait qu’une relation élève infirmière……Ce fait me désola et pourtant, je ne lui en voulait pas commençant a définir ce que je ressentait pour elle-même si cela rester très confus………..

Je commençais a me réveiller petit a petit, ne bougeant pas gardant les yeux fermait je l’écouter parler, je l’entendit dire que quelqu’un lui manquer, je comprit qu’elle parler d’une personne qu’elle avait perdu, cela m’attrista mais je ne laissa rien paraitre, je bailla légèrement et elle comprit que ‘était en train de me réveiller, j’ouvrit un œil paresseux , elle rangeait quelque chose dans un tiroir sans que je ne vit ce qu’elle ranger…..j’entendit de l’eau couler, elle se dirigea vers moi et me demanda si j’avait bien dormi :


« Oui merci, est excuser moi de vous avoir importuner alors que vous étiez en plein rangement, je suis prêt a partir quand vous voulais »

Me lève, m’étire faisant un peu d’exercice pour me dégourdir, la regardant, je me demandait si elle allait sortir comme ca ou si elle allait enlever sa veste d’infirmière, je marcha jusqu'à la porte l’attendant, restant très patient.

« Vous été sur que ca ne vous pose pas de problème de manger avec moi ? Je veux dire vis-à-vis du règlement ? Je ne veux pas vous faire avoir de problème. »

Je la regardait guettant sa réponse, regardant l’endroit ou elle c’était couper un peu plus tôt, je voulait manger en sa compagnie, mais j’avais peur de l’importuner………….
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Takeru Maya

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MessageSujet: Re: Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal)   Et si la vie n'était faite que de souvenirs douloureux ? (Jackal) Icon_minitimeDim 16 Aoû - 15:16

Elle sourit, enlevant sa veste, se retrouvant en robe noire, remettant ses lunettes sur son nez et détachant ses cheveux, elle ferma tout et prit le soin de bien vérifier que tout était verrouillé. Puis elle s’approcha de lui, attrapant son sac à main au passage et regardant qu’elle avait bien tout à l’intérieur, ils se retrouvèrent dans le couloir, marchant doucement, puis elle s’arrêta devant l’entrée de l’infirmerie.

- Je n’aurais aucun soucis ne t'en fait pas. Et puis personne ne fera attention à cela, de plus, ce n’est que pour un repas...

Elle enfila sa veste rose sur elle, son sac accroché à son épaule, ils se retrouvèrent à l’extérieur du bâtiment, elle ferma la porte à clé, indiquant grâce à une petite pancarte qu’elle était joignable sur son beeper en cas de soucis.

A vrai dire, elle était heureuse que Jackal soit arrivé se jour là, ça lui avait permis de penser moins à son mari et à sa fille, d’effacer son chagrin durant quelque instant, même si la douleur était toujours présente. Ils avancèrent jusqu’à sa voiture, elle lui ouvrit la porte, la laissant monter, avant de partir s’installer du coté conducteur. Elle démarra et partit en direction du quartier est.


[post cour, désolée, la partie au restaurant sera plus longue]
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