Nom : Takeru
Prénom : Maya (vrais prénom :
Mae-in, mais les gens ont pris l’habitude de l’appeler
Maya)
Surnom : Honey (ces amis l’appellent comme ça parce qu’elle raffole du miel), 아내 = Anae (= ma femme en coréen, nom donné par son mari)
Age : 25 ans
Profession : Infirmière
Poste demandé: Infirmier
Tic : Elle fait toujours la moue, elle tripote sans arrêt son alliance, elle tire la langue pour un rien.
Autre : Elle a un médaillon qu'elle ne quitte jamais contenant une photo de son mari, et une de sa fille, elle a un petit tatouage à la nuque : 사랑 qui veut dire amour en coréen. Elle se balade souvent avec son walkman sur les oreilles quand elle est seule dans son bureau.
Physique : Elle est de taille normale, ni trop grande, ni trop petite, un mètre 70, on peut dire que c’est une bonne moyenne, et ses 51 kilos en fond une jeune femme pulpeuse à souhait. Ne le cachons pas Maya a des formes, et elle sait les mettre en valeur, souvent en décolleté ou en jupe courte, au travail, elle s’habille comme elle veut, posant simplement sa blouse sur ses épaules, elle reflète une allure généralement attirante. Un teint légèrement mâte mais pas trop, comme beaucoup de coréenne, elle a un corps fin, pas forcément musclé, à vrai dire à part de la piscine, et un peu de jogging, elle ne fait rien de spécial pour rester ainsi, mangeant tout ce qui lui fait plaisir... comme elle peut être énervante. Elle a de longs cheveux bleu nuit, des yeux dans les mêmes tons, parfois, elle se met des lentilles de couleur pour paraître unique, elle l’est déjà, elle croit qu’elle passe inaperçue, elle veut qu’on la remarque sans la dévisager. En parlant de visage, le sien est d’un ovale équilibré, présentant un nez Ô combien parfait, des joues roses et bien remplies, une bouche pulpeuse comme beaucoup de jeunes femmes asiatiques.
Dans son idéal, elle portera une jupe noire, un haut dans les même tons, fait de soie et de crêpe transparente aux bras, proposant un léger décolleté sensuel, des petites ballerines noires, des cheveux faussement attachés par un pic en bois quand le besoin sans fait ressentir. Sa veste d’infirmière sur le dos, elle est belle et sensuelle, pourtant, elle ne veut plus paraître sexy, ni attirante, allez trouver la faille...
Mental : D’un ordinaire rieur, avant elle était une jeune femme pleine de vie, sortant avec ses amis, elle partait souvent en randonnée équestre avec son mari et leurs chevaux. Elle profitait de la vie en la croquant à pleine dent, rarement malade, cela faisait.... Hum... trois ans qu’elle était diplômée après avoir suivit une formation spéciale pour les cas psychiatriques et les traumatisés en tout genre. Toujours souriante, elle aimait s’occuper de sa maison et se leur chat, attendre que son mari revienne de son bureau, elle cuisinait bien sans trop en faire non plus pour le laisser profiter de leur dimanche. Journée sacrée dans sa tête et dans son cœur. Elle était un peu faignante à l’école, pourtant les bons résultats ne se faisaient pas attendre, un brin boudeuse, elle pardonne facilement et n’est pas rancunière, tendre et aimante, elle râlait peu, se taisant souvent, trop habituée à le faire avec ses parents.
Elle n’avait pas eu une enfance malheureuse, juste stricte, un père Capitaine d’armée, et une mère institutrice, pas de frères ni de soeurs... les règles devaient être suivit, et la seule fois ou elle ne les écouta pas, ce fut quand elle voulut partir avec lui, se fiancer, et poursuivre ses études dans le pays de son cher et tendre. Partir à Tokyo, quitter Séoul et sa maison, quitter son chez soi, partir à l’aventure pour suivre un jeune assistant, prendre ses propres décisions et être heureuse.
Histoire : Cher journal,
Je suis désolée, je n’ai pas pu t’écrire récemment, les préparatifs du mariage me prennent un temps fou en plus des cours. Je ne sais pas ce qui m’a prit de lui demander de nous marier au moi de mars, j’aurai du attendre que juin passe, savoir si j’étais diplômer ou non. Mère avait peut être raison, on aurait du attendre non ?
Non, c’est vrai, tu as raison, j’aime Haruma, et quoi qu’ils en disent, je suis sur que nous serons toujours ensemble dans cinquante ans. Je veux croire au pouvoir de l’amour véritable, même si il est rare. Il sera toujours le seul, dans un mois à peine je ne m’appellerai plus Park Mae-in, mais Takeru Maya... comme j’ai hâte si tu savais, il vient de rentrer, je te laisse, 22 ans bientôt, et je t’écris toujours, pauvre journal, tu dois en avoir marre de moi.
Cher journal,
Ça y est, mon grand jour est passé, depuis hier je porte son nom, depuis hier je porte notre alliance, si tu savais comme je suis heureuse. Mère n’arrêtait pas de pleurer, comme mon beau-père d’ailleurs, pire que des madeleines, si tu les avais vu tu aurais ris toi aussi.
Haru était si prévenant, on a danser longuement tout les deux, il était beau dans son costume blanc, ses cheveux noirs plaqués contre son visage, jamais je ne pourrais oublier ce moment, se jour ou je suis devenue sa femme dans ma magnifique robe de soie blanche. Je rêve de cette journée à chaque fois que je m’endors à ses cotés, demain, direction la nouvelle Zélande, je sens que notre Lune de Miel sera parfaite. Je te raconterai.
Cher journal,
Aujourd’hui, j’ai bientôt 24 ans, Haru 27 et tu veux savoir quelque chose ? On va être parents, je suis si heureuse, je n’arrive pas y croire, je me sentais mal et barbouillée depuis deux mois, et je suis allée passé un contrôle, on a fait une échographie, un test, et je suis enceinte de trois mois, plus que six mois et notre bébé verra le jour, si tu savais comme je suis heureuse. Je vais être maman et je t’écris toujours, je dois être atteinte du syndrome de Peter Pan tu en penses quoi ? pas grave on s’en fiche, c’est un des plus beaux jours de ma vie, et si tu voyais l’état de mon chéri, c’est soulageant de le voir si euphorique...
Cher journal,
On m’a appelé au pensionnat aujourd’hui, j’étais restée plus tard à cause d’une dispute ayant mal tournée... et belle-maman m’appela, étonnant tu ne trouves pas... Oh pardon... mes larmes abîment tes pages... mes larmes... pas des larmes de joie non... Je viens... on vient de... c’est si dur de le dire... alors de l’écrire... comment admettre qu’il est mort... qu’on lui a roulé dessus.... et... oh encore des larmes, tes pages s’ondulent par ma faute... 미안해 (désolée) J’aurais aimé être plus forte... et dire que dans trois jours, je dois l’enterrer et que le lendemain, on devait savoir si on allait avoir une fille ou un garçon. Il y a deux mois on apprenait qu’on allait être parents... aujourd’hui, on m’enlève ma raison de vivre... La vie est si cruelle...
Cher journal,
Ce n’est pas Mae-in qui t’écrit, mais sa belle-sœur, je sais qu’elle te portait dans son cœur malgré son âge avancé, elle t’a emmené avec elle à l’enterrement, je pensais au début que tu étais une sorte d’album photo, mais non. Je suis avec elle en se moment, je voulais y mettre la photo de leur fille, malheureusement, leur petit Sachi (bonheur en japonais) ne verra pas le jour. Trop anéantie de la mort d’Haruma, Maya et elle se sont laissées mourir doucement, le médecin n’a pas pu sauver ma nièce pour la sauver elle, je voulais mettre la photo de la petite entre tes pages, et je me suis aperçue que tu étais un journal. Ne sachant trop quoi faire, j’ai voulu marquer se jour pour décharger notre chagrin sur toi, et coller l’unique photo de Sachi, au chaud dans ta couverture. Fait attention à se que le temps ne s’abîme pas, moi je vais prendre soin de Maya...
Depuis se jour, plus personne n’écrivit de mots, ou de phrase à l’intérieur de se cahier doré, gardien de ses souvenirs et de son cœur, il restait au chaud dans sa table de nuit, ne l’ouvrant plus depuis un an, elle le gardait.
Relation : Elle a établi peu de relation depuis son entrée à Saido Ori, ayant l'expérience des cas difficiles, au début elle était joviale et s'entendait bien avec Naoko et Keiji son assistant, elle pense qu'il fera un bon infirmier si il était moins paresseux. Hikaru lui a toujours fait peur, et elle déjeune encore de temps en temps avec Isa, pour paraître civilisée le temps d'une heure. Mais sinon, comme elle le dit elle même "On est pas au pensionnat pour se faire des amis"
Saison préférée : le printemps
Mot préféré : Saranghae
Expression préférée : "je me demande si tu finiras par te taire..." "Pincez moi je rêve..." "T'es sur ?" "Si seulement..." (Y'en a plein désolée)
Plat préféré : Kimchi powa ^^
Code :
code bon 
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