Dasvidania Anna [Ishii Annushka]

Histoire :


Russie, il y a longtemps ... Trop longtemps. C’est l’hiver, il y fait froid; un pays dévasté par les guerres, par la tyrannie, par un tas de cicatrices laissées en « souvenirs » de ce temps là. Les gens, là bas, ne sont pas fous; ils vivent une vie qui semble différente, les traiter de fous serait hypocrite. C’est en ce temps froid et lointain maintenant que vînt au monde un bébé. Ceci n’est qu’une goutte d’eau dans l’océan de l’univers, pourtant, tel l’effet papillon, son impact est aussi violent qu’un Tsunami en pleine action. Ce bébé, cette petite, était née avec déjà un duvet blanchâtre sur le crâne, signe que cette enfant ne sera jamais, jamais normale. Différente.
Annashuka, de son surnom Anna, était née d’une mère russe et d’un immigré japonais, son père. Celui-ci avait lui-même des origines russe par ses arrières-grands parents; d’où le lien avec son immigration dans ce pays. Il avait rencontré la mère d’Anna, et la voilà. Pourtant, cette petite n’était pas seule; elle avait deux grandes sœurs, qui avait déjà 9 ans à l’époque, et un frère, qui était son « faux » jumeaux, né le même jour qu’Anna. Pourtant, elle ne les verra pas, et ne les rencontrera pas avant longtemps.
Un an. Anna était un bébé très renfermée, elle ne pleurait jamais, elle marcha assez rapidement mais pour tout simplement se cacher dans des endroits « tranquille » et comparée à tout les autres enfants, elle n’a jamais prononcé des petits mots incompréhensible, ou même essayer de communiquer avec ses parents comme beaucoup de bébés. Elle dit son premier mot peu après l’anniversaire de ses un an. Son mot était « Hiver ». Elle aimait déjà cette saison. Depuis, plus un mot; à part pour signaler sa présence dans une pièce et de ne pas se faire « écraser ». Puis deux ans, trois ans … La vie était pareil, répétitive, jusqu’à ses 6 ans. Sa mère était femme au foyer, même si elle sortait souvent, et son père travaillait. Anna ne savait pas où. Peu avant ses 6 ans, exactement, son père rentra, et engagea une conversation effréné avec sa mère, en russe. Anna arrivait à maîtriser aussi bien le russe que le japonais, d’une façon plutôt impressionnante pour son âge. Malgré cela, elle ne comprit pas de quoi il était question, et elle préféra continuer à jouer avec ses jouets au lieu de se mêler de ce qui ne la regardait pas. Deux jours plus tard, ils déménagèrent, direction le pays d’origine de son père; le Japon. Plus tard, elle apprit que son père était le « Co-directeur » d’une société plutôt malfamée qui exportait des armes après les avoir « testés » sur des enfants, des orphelins.
Vînt le jour de ses 6 ans. Cela faisait un peu plus d’un mois qu’ils étaient au Japon, et Anna ne sortait toujours pas, comme depuis sa naissance. Elle commencerait l’école l’année d’après, disait son père. Même si elle aimait s’enfermer ou rester dans son coin, elle sentait au fond une impatience de connaître enfin un autre univers que les murs de son ancienne et de sa nouvelle maison. A nouveau, sa mère restait à la maison, partant parfois avec son père lorsque celui-ci allait au travail … Puis, 5 ou 6 mois après son anniversaire, elle entendit son père rentré depuis le placard où elle s’était cachée. Elle entendait sa respiration, plus … bizarre que d’habitude. Puis, lui qui connaissait les endroits que Anna préféraient, il ouvrit la porte de placard, et prit sa fille par les épaules.



« Pizda malossolnaya » était un jeu entre son père et elle, le seul qu’ils avaient; c’était le seul à l’appeler comme ça. Il la prit dans ses bras, et l’embrassa au front. Cependant, Anna ‘lavait sentie, quelque chose n’allait pas.



Personne n’aurait imaginer cela. Personne n’aurait voulu vivre ainsi. Les mots « débauche » et « perversion » n’étaient rien, rien, comparés à ce monde là. Le lendemain matin, Anna se promena pour la première fois dehors. Et pour la dernière fois. Son père l’emmena dans une énorme maison, semblable à un manoir, qui était totalement en contraste par rapport à l’architecture japonaise. A l’intérieur, tout était noir, les murs, les escaliers, la porte, même le contour des fenêtres. Seul le sol était d’un gris foncé, mais pas noir. Les grands parlaient en japonais, mais Anna n’écoutait pas. Sa main avait quitté celle de son père, et elle se demandait où était sa mère. Elle ne l’avait pas vu à la maison ce matin, étrange. Puis, un grand homme, un japonais aux traits étranges se pencha vers elle. Son sourire avait quelque chose de malsain, mais son père le désigna comme son patron; Anna baissa juste le regard vers le sol. Puis, il lui prit la main, et l’emmena dans une grande pièce, sombre. C’était les derniers instants de « vie » d’Anna, ceux où le mot « innocence » avait encore un sens.
Puis soudain, elle comprit. Plus jamais elle ne sortirait d’ici. Et ce qu’elle allait vivre aurait fait vomir n’importe qui rien que de l’imaginer. Son père travaillait dans le plus gros réseau de « Snuff Movies » pour pédophiles.
Elle subit des choses horribles; on la déshabilla, la toucha, la tortura, l’essayant à des expériences inhumaines, devant son père et sa mère qui ne trouvait rien d’autre que de sourire du même sourire pervers que son patron; tout cela était, en plus, filmé et donné à d’autres malades qui voulaient garder une « trace ». Elle fût seule, subissant milles humiliations, oubliant même le sens du mot « vivre » dans cette pièce froide, humide et sombre. Elle ne mangeait que rarement, et elle devenait de plus en plus malade, maigrelette. N’importe qui aurait craqué, préférant mourir que subir encore ça, ou même, perdre la raison. Pourtant, elle subissait tout, comme une poupée morte, aussi insensible d’une pierre. Elle était déjà devenue folle, car même lors de ses « pauses », elle se sentait torturée, et elle voyait des images tellement horribles que c’était ça qui la faisait vomir. Puis, au bout d‘un an, elle sentit quelque chose lui monter à la tête; la tristesse, le désespoir. Elle se mit à pleurer sans s’arrêter pendant des jours, ce qui ne faisait jouir encore plus les connards qui l’exploitaient et la violaient. C’est après ça que leurs esprits tordus trouvèrent une nouvelle idée; ajouté un autre enfant avec elle. Et pas des moindre.
Son propre frère jumeaux. Elle comprit alors qu’elle n’était pas la seule à subir ça, dans cette chambre dégoutante, mais que des dizaines d’autres enfants, seuls, subissaient la même chose. Certains plus vieux, certains plus jeunes comme elle … Et elle découvrit que ses deux sœurs aussi vivaient cet enfer. Elle en oublia le mot « famille » après cela. Elle retrouva alors son frère jumeaux, qui lui aussi pleurait sans s’arrêter, goûtant sûrement au désespoir, ce goût si amer qu’il vous en fait pleurer. Après son arrivé, les tordus les poussèrent à se toucher entre eux, entre frères et sœurs, les violant aussi ensuite, puis les torturant à la fin pour les voir pleurer, roulant dans leur sang. Chaque jour était une nouvelle épreuve; ils trouvaient toujours de nouveaux « jeux » comme ils disaient. Leur perversion n’avait pas de limite.
Les années passèrent. Pendant un temps, Anna et son frère eurent un moment de « repos »; ils tombèrent tout les deux malades, et pendant plus d’un an ils étaient enfermés, ensemble, dans une chambre plus claire pour être soignés. Anna et son frère avaient 10 ans après leur guérison. Ils se retrouvèrent à nouveau dans cette chambre. Anna avait oublié la lumière, et s’était complètement enfoncée, pour essayée de ne pas sombrer totalement dans la folie, comme son frère. Quelques temps après, son père et son patron trouvèrent une nouvelle idée; il y avait trop d’enfants orphelins qui traînaient ici et à l’extérieur; c’est ainsi que le nouveau « jeux » macabre commença.
Ils amenaient d’autre enfants auprès d’Anna et de son frère, dans le but que ces derniers les torturent sous les yeux de ces barjes, les faisant souffrir le plus longtemps possible et le plus possible, puis de les achever à la fin après les avoir toucher et violer. Ce « jeu » fût celui qui dura le plus longtemps, car d’après quelques discutions qu’elle comprenait, cela se vendait bien auprès des autres pédophiles. Elle tua tellement d’enfant qu’elle finit par se résigner en se réfugiant dans son monde, qui était dirigé par une seule règle : « Tué, ou être tué ». Si ils n’obéissaient pas (Ce qui était arrivé au début), ils subissaient des choses encore plus horribles, tellement folle qu’elles en devenaient inexplicables.
Anna avait un peu plus de 13 ans quand sa « délivrance » fût annoncée. La police japonaise avait trouvé le réseau de son père, et s’était rendu directement dans la maison. Le nombre de victimes fût élevé, il n’y avait aucune pitié pour ce genre de vermines immonde. Son père décéda, sa mère elle se rendit immédiatement, en jouant la carte du « On m’a forcé » et en pleurant sur le corps de son mari. Anna fût récupérée, ainsi que son frère jumeaux. C’est quand la porte fût ouverte et qu’on l’emmena dehors qu’elle sentit sa folie se rependre en elle; il était trop tard, les ténèbres l’avait déjà emmené.
Elle passa beaucoup de temps à l’hôpital. Mais elle, au moins, survécue. Une semaine après leur internement, son frère fût retrouvé mort, après avoir sauté de la fenêtre pour « s’envoler » d’après ce qu’il avait dit à l’infirmière présente, et que sa tête fût écrabouillée. Anna, elle, passa la soirée à se marrer en y repensant. On la qualifia de « folle », qu’elle « avait perdue l’esprit après cette épreuve ». Non, simplement, elle riait car elle était heureuse; maintenant son frère pourrait « vivre » en paix, loin de ce monde de dingue. Celui de son esprit, aussi malade que celui d’Anna.
6 mois après son internement, elle fût envoyé à l’asile, mais un asile spécial, pour des « enfants » qui avaient vécus la même chose qu’elle. Sauf que, pour la plupart, son histoire les faisait vomir, cracher du sang. Elle y passa plus d’un an, et elle n’en sortit que vers ses 15 ans. L’ancienne Anna, si l’on peut dire, était celle que l’on voyait en la regardant pour la première fois. Pourtant, ce n’était pas une seconde personnalité ou schizophrénie, juste une façade qui dure quelques jours à peine … Son goût pour le sang et pour le meurtre ne l’avait pas quitté, même après avoir apprit qu’elle avait tué ses deux autres sœurs pendant l’un des « jeux » des pervers. Tuer pour vivre, elle ne vivait plus que pour ça. C’est ainsi qu’elle se retrouva à Saido Ori; elle continua de tuer des gens. Après sa sortie de l’asile, elle avait été « adoptée » par un Yakuza, ancien flic véreux, qui lui fournissait juste à boire, à manger et un lit. Il ne faisait pas attention à elle, même quand celle-ci lui « empruntait » des armes à feu et s’en allait plusieurs jours sans donner de nouvelles. Le quartier était très dangereux, et elle ne tuait que ceux qui s’en prenait à elle, comme ces pervers dans la chambre sombre … Parfois, elle tuait même pour le Yakuza, car elle ne ressentait rien, à part une énorme … Joie ? Une joie qui lui faisait aussi mal que la souffrance alors.
Elle se fit pincer par hasard, alors qu’un vieux l’agressait. Les flics la trouvèrent un revolver poser sur la tempe du vieux, près à tirer. Ce qu’elle ne fit pas. Mais qui fût suffisant pour l’amener ici.
Ah, les Yakuza ? Retrouvés morts, le même jour, on ne sait pas pourquoi.

Tout lu ! : p
Anna? j'aime ta façon d'écrire, je te l'ai déjà dis... 'tain tu ne fais que progresser, arrête ! XD
Pauvre Anna, on comprend son esprit dérangé maintenant é _ è
Ta fiche est plus que correcte : p et le code est bon en plus !
Validé miss ! Je réserve ton premier rp muhuhuhu !

: D De rien Keupine !
Notre premier rp ensemble depuis longtemps <3 ~

(merci d'éviter de flooder >>')

Bienvenuuuuuuuue j'ai pas eu encore le courage de lire ta présentation mais je vais le faire èoé ! ça m'a l'air très bien en tout cas ! merci de t'être inscrite sur saido ori !