Okabe Rei : Oh God !

Who is She ?

Nom :

Prénom :

Surnom :

Age :

Orientation sexuelle :

Crimes :

Tics

Autre :

Description Morale

White Rei :

Black Rei :

Description Physique :

Saison préférée :

Mot préféré :

Expression préférée :

Plat préféré :

Relations :

Masamune Tojiro

Komae Hikaru

Fujima Naoko

Fujima Keiji

Takeda Yosuke

Satori Miku

Komiyama Kintaro

Hiroe Mei

Tomura Hayato

Miura Haruka

Pseudo :

C

Ta note sur 10 :

Code :

The Life is not like a Fairy Tale !

Histoire : Connaissez vous le mot souffrance ? Rei oui…Pourtant tout commençait si bien, qu’est-ce qui a pu foirer dans sa vie ?
La jeune fille est née le 13 novembre, par un jour de pluie. Une famille aimante, quoi qu’un peu pauvre. C’est ainsi que la première année de sa vie, fut la plus douce. Choyée, chérit, ses parents s’occupaient d’elle comme d’un trésor. Pourtant lors de la deuxième année tout tourna mal. La mère se lassa et un beau soir disparut, laissant au père la charge de l’enfant. A partir de ce moment, tout se chamboula. Le père au début pensa s’en sortir, trouva du travail, loua un appartement plus petit…Mais au bout d’un moment il tomba dans la dépression et commença à boire. Rei commença donc à grandir dans cet univers de violence et de tristesse.
Au début son père ne lui faisait pas de mal, il était à peu près normal avec elle, continuait de l’aimer et de faire attention à elle, puis le temps passa et son opinion changea. Peut être qu’il devenait fou ou autre chose et il commença à frapper la petite fille. Pas très fort bien sur, mais on devient facilement accro à ce genre de chose là et puis c’était un bon anti-stresse de savoir que quelqu’un souffre avec vous…
Quand elle eu l’âge d’aller au jardin d‘enfant, les maîtresses s’étonnèrent du nombre d’hématomes qu’avait la petite fille sur le corps mais ne dirent rien…Non ce n’était pas leur affaire, tant que la petite Rei était sage et ne se plaignait pas, elles n’avaient rien à dire sur ce sujet là. Qu’elle hypocrisie ! A l’école Rei s’entendit assez bien avec les autres enfants, bien qu’ils la tenaient souvent à l’écart. Ils avaient peur de son visage blessée, de ses membres maigres…Mais ils essayaient de faire ami ami avec elle. Or très vite la jeune fille comprit que l’amitié n’était pas nécessaire pour survivre, que c’état plus un poids qu’un cadeau et se renferma un peu plus sur elle-même. En primaire alors que les coups devenaient encore plus forts du côté de son père, en classe ses camarades décidèrent que ce serait elle l’Ijime, la souffre douleur. Ils la tapaient, ils renversaient son bentô par terre, lui tiraient les cheveux etc. etc. Les professeurs ne voyaient rien, ou alors s’ils avaient comprit ils ignoraient tout ce qui se passaient dans leur classe. Pourtant la petite fille ne sembla pas se rebeller. Elle s’enferma encore plus sur elle-même, tentant d’ignorer la méchanceté de ses camarades. A vrai dire elle s’en fichait pas mal, elle n’avait connu qu’une année de bonheur, alors la souffrance ne lui faisait plus grand-chose.
Chez elle, la petite fille devait se débrouiller toute seule pour trouver quelque chose à manger, nourrir son père, nettoyer la maison. Très vite, malgré son jeune age elle apprit ce que c’était de tenir un foyer... Vers l’âge de 9 ans elle pensait à peu près comme une adolescente de 15 ans. C’est vers cet âge là aussi qu’elle découvrit la boxe. Le soir lorsqu’elle traînait dans les rues de son quartier elle rentra dans un club de gym et aperçut des hommes entrain de se frapper dessus. Etrange, étrange. Elle se renseigna et très vite voulu apprendre. Chaque soir elle venait regarder les entraînements, se faisant toute petite, pourtant un jour l’entraîneur la remarqua et la questionna. Il comprit son envie de se battre et décida de l’entraîner. C’est grâce à cet homme que la petite fille reprit courage, qu’elle apprit les mots rages, force et endurance. Chaque fois qu’elle tapait dans le sac de sable, elle se sentait vivante, fière, forte. Pratiquer un sport de combat lui apprit aussi à mieux subir les coups. Son père lui faisait toujours mal, mais beaucoup moins qu’avant, quand à ses pseudo camarades, ils ne la touchaient même plus.
C’est vers son entrée au collège que sa vie prit un autre tournant. Dès qu’elle posa le pied dans la salle de classe, elle comprit que ce ne serait pas parti remise. En effet elle venait d’intégrer un collège de seconde zone, où tous les petits voyous étudiaient. Tout de suite il fut décrété qu’elle serait encore le souffre douleur cette année. Pourquoi ? Et bien tout simplement les brûlures de cigarette sur son bras, le bleu sous son œil, ses jambes égratignées. Au début elle se laissa faire, mais au bout de quelques mois tout changea. Un déclic se fit dans sa tête et elle changea complètement de personnalité. Alors que le petit caïd de la classe tentait de a faire s’agenouiller et de lui faire lécher ses chaussures, les jeune fille le repoussa violemment et se jeta sur lui. Si les autres élèves ne l’avaient pas arrêtée, cet élève serait mort et enterré… A partir de ce jour Rei commença à changer. Elle devint violente, distante. Dès qu’on tentait de l’embêter elle frappait, et elle frappait fort. Car à cet âge là, filles ou garçons font à peu près la même taille et le même poids non ? C’est donc à cette époque qu’apparut « black Rei ». Il ne lui en fallait pas beaucoup pour s’énerver, pour hurler. Lors les gens commencèrent à la craindre.
C’est aussi vers l’âge de 13 ans que le grand drame se produisit. Alors qu’elle rentrait du collège, son cartable sous le bras, son père lui sauta dessus et tenta de la violer. S’en fut trop pour Rei. Elle se débattit, chercha à se défendre et sa main tomba sur une bouteille de verre vide. Elle l’empoigna et assomma son père une fois, deux fois…La bouteille se brisa et le sang de son père se mêla au rouge du vin…Tout alla très vite ensuite. La police débarqua, le corps fut emmener et Rei questionnée. Elle expliqua tout avec sang froid et fut placée en foyer. Il y eu un procès mais la petite fille fut innocenté, légitime défense.
La petite fille continua donc de vivre, dans un foyer peu surveillé et elle commença vraiment à mal tourner. La plus part des gens autour d’elle la respectait et très vite elle fut intégrée dans la plus grosse bande de voyous du quartier. Le seul endroit où elle était encore elle-même, calme, réfléchit, positive, c’était son club de boxe. Elle et son entraîneur étaient devenus comme les deux doigts de la mains, inséparables. Il regardait d’un mauvais œil toutes les bêtises de la jeune fille mais ne faisait aucun commentaire, la laissant vivre comme elle le souhaitait. La seule chose qui lui faisait plaisir, c’était de voir une jeune file sans visage tuméfié, sans trace de coup sur son joli petit corps.
Vers l’âge de 14 ans elle tomba amoureuse. D’un boxeur de son club. Elle comprit qu’une souffrance pouvait être douce, qu’il existait au moins une personne qui pouvait l’aider, l’aimer pour ce qu’elle était. Ils s’aimèrent pendant un an jusqu’au jour où elle le découvrit dans son lit avec une autre fille. Ah douleur, douleur….Pourtant ce jeune homme avait réussit à calmer sa personnalité « black » Pas de toute, même maintenant ce jeune homme à encore une grande place dans son cœur…
En dehors de cette partie « rose », dès 14 ans Rei tomba sous l’influence de la drogue et de fil en aiguille vendit son corps pour pouvoir acheter sa dose. Au foyer même les surveillants venaient la voir et elle avait tout ce qu’elle désirait. Argent, bijoux, gloire… Comme quoi, avec un corps séduisant on peut tout obtenir…En pratiquant ce métier elle fit la connaissance d’un jeune homme fort sympathique : Takeda Yosuke. Tout de suite ils devinrent très, mais alors très amis, inséparables. La jeune fille le considère comme son petit frère et tente de le protéger de tout ce monde là…Mais malheureusement pour elle, il est déjà bien avancé dans le chemin de l’enfer. C’est ensemble qu’ils se firent prendre et envoyer au pensionnat Saido Ori. Rei avait 17 ans. Comme au foyer, comme au collège, elle se forma une réputation. Tout le monde la craignait, lui obéissait. Violente et froide, solitaire et cynique. Le directeur un homme on ne peu plus insupportable passait son temps à la chercher, à tenter de la dresser…Un jour la jeune fille explosa et perdit son sang froid. Le lendemain matin le corps du directeur fut retrouvé, brisés en mil morceaux dans la cour de récréation. Tombé du toit apparemment. Pendant un an le pensionnat fut suspendu, tous les élèves renvoyés. Quand il rouvrit à nouveau ses portes, la jeune fille fut à nouveau convoquée et là elle fit connaissance avec le nouveau directeur….Beaucoup moins sympathique que le précédent….

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