Setsugai Kougetsu
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Date d'inscription : 08/11/2009
 | Sujet: Setsugai Kougetsu  Dim 8 Nov - 23:27 | |
|  KOUKETSU SETSUGAINom : Kouketsu
Prénom : Setsugai
Surnom : Setsu
Age : 19 ans
Orientation sexuelle : absente
Crimes : violence psychologique
Tics : Setsugai porte régulièrement la main sur son pendentif.
Autre : Elle ne passe pas une soirée sans divaguer, se torturer mentalement, de ce fait elle entaille régulièrement son bras gauche. Les blessures libèrent de l'endorphine et la clame avant qu'elle n'explose.
Description Morale : Setsugai Kouketsu est douée d’une intelligence hors norme, elle à réponse à tout. Et bien souvent comme les génie de son temps, elle est un être d'une extrême complexité. Son esprit ressemble à un énorme labyrinthe. Sans cesse plongeait dans ses pensées, elle parait un peu à part, comme si son âme l'avais quittée et volter bien loin au dessus d'elle. L'enfant est sujet à d'atroce introspection régulière. Une partie d'elle se déteste et l'autre sans doute encore plus. Enfermer dans sa propre tête, prisonnière de soi même, sa vie ne devient que la scène des immondices qu'elle crée et toute chose se voit remaniée et déformée pour ne causer que souffrance et peine là où joie avait vu le jour.
Elle aimerais en finir définitivement, mais un visage l'empêche de partir, une promesse qui la maintient à la vie comme les fils d’une marionnette à son maitre. Rien ne lui fait plaisir, rien ne la fait sourire, tout du moins réellement. Le masque qu'elle s'est fixé sur le visage il y a de cela quelque année prends la forme voulu par son interlocuteur. Incroyable capacité à comprendre l'autre elle est pour autant incapable de se comprendre. Clairvoyante, peu de chose lui échappe. Ainsi si la personne avec qui elle parle a besoin de réconfort, son visage s'empressera automatiquement d'afficher un sourire franc et sympathique. C'est loin d'être une manipulatrice... En principe elle n'attends rien de personnes. Sa gymnastique facial est impressionnante, bluffante. Rare sont les personnes qui décèle derrière son rictus charmant, un profond désarrois, une atroce solitude, un être complètement paumé. Elle se cache, elle mens, elle triche. Setsu masque son visage et deviens un vulgaire mensonge ambulant…
Vous l’aurez compris, l’enfant ne parle que pour répondre, souvent isolé, chaque seconde de sa vie est un tourment, son châtiment pour avoir détruit ce qu’elle aimait par-dessus tout.
Description Physique :
Sestu n’a rien à envier aux jolies filles. Sa carrure, fine et élancé, lui donne un air gracile non déplaisant à regarder. Pendant des années, elle s’est consacré au science comme au sport, ce qui lui a transformer en plus de son cerveau, son corps en celui d’un athlète. Sans pour autant être une armoire à glace, ses muscles sont bel et bien présent. La jeune fille ne met pas sa féminité en avant, sans pour autant la cacher. Très simplement vêtu, elle préfère le pantalon à la jupe. Son regard très impressionnant et un véritable miroir de son âme. C’est peut-être la seule partie de son visage qui porte mal le masque de la joyeuses supercherie. Ses deux yeux sont à l’image des deux obsidienne, noir brut, et pourtant si attrayant.
Sa chevelure souligne son coté masculin, non pas qu’on croirez voir un homme lorsqu’on porte notre regard sur Setsu, juste, qu’encore une fois, rien ne met en avant la femme qui est en elle (et c’est surement pas sa petite poitrine qui me contredira). Blanc, il se redresse en houppette sur le haut de son crane (ses cheveux hein…. Ou alors sa poitrine est super mal placer et quelqu’un m’appel un médecin X3) et retombe un peu plus bas que sa nuque. Très déstructuré sa coupe de cheveux englobe à la perfection son fin visage. Enfin, dernier fait notable, son bras gauche est souvent bandé ou bien parsemé de pansement. Jolie oui… mignonne aussi, surtout qu’il se dégage chez elle une simplicité doublé d’une tristesse touchante.
Bref, quelqu’un sur qui on porte son regard avec curiosité.
Histoire :
« Tu me dégouttes… »
C’est sans doute la phrase la plus dur que lui est souffler sa tendre mère. Né d’une bonne famille, Setsu avait devant elle un avenir brillant.
Ses parents, ne voyaient en leurs filles qu’une parfaite incarnation d’eux même…
L’amour que portait les parents à leur enfants était inégale.
Setsugai était née du premier mariage de Monsieur Kougetsu, lors d’un effroyable tempête d‘hiver. Les rues de Tokyo était totalement recouverte de neige, immobilisant les habitants chez eux. L‘accouchement fut difficile, et lorsque les complications se déclenchèrent, la famille Kougetsu ne pu se déplaçaient. La mère biologique de Setu mourus une heure après l’avoir mise au monde.
Son père n’éprouvé de ce fait, qu’un intérêt relatif pour sa fille. Elle n’était plus que l’enfant souvenir de la femme qu’il avait tant aimer. Sans pour autant lui faire subir un quelconque mauvais traitement, vivre avec l’assassin de l’amour de sa vie, n’étais pas évident. Il y eu donc entre les deux personnes, qu’une timide distance.
Deux ans plus tard, l’homme d’affaire, père respectable malgré tout, rencontra sa deuxième femme avec qui il se maria un ans plus tard. Cette femme, parfait portrait de la société japonaise, était une perle que tout homme aurait aimer avoir chez lui. Belle, intelligente, cordon bleue, elle s’occupa de la maison comme personne. Néanmoins… tomber amoureuse d’un homme et l’épousé signifiait également adopter la petite Setsu. Et ce ne fut pas chose aisé. Mais la femme se comporta en parfaite épouse. Et la relation, un peu difficile au début, entre les deux femmes, se décanta au fur et à mesure pour devenir un lien tout à fait stable et humain. Madame Kougetsu avait même de l’affection pour celle qu’elle finit par appeler sa fille. La parfaite famille commença alors une nouvelle vie. Ce fut durant cette période de paix et d’amour que la femme au foyer tomba enceinte. Madame Kougetsu accoucha prématurément d’une petite fille durant l’automne. Il pleuvait beaucoup en cette saison, et ce fut durant une inondation que Ame vu le jour. Drôle de coïncidence, les deux filles de Monsieur Kougetsu étaient né durant des catastrophe métérologique. Pourtant cette fois, la femme survécu. Et le bébé, bien que très faible était en bonne santé. Ce fut le plaisir de la famille. A partir de ce moment, l’attention des adultes se fixèrent sur la petite nouvelles. Setsu éprouvé pour sa sœur… comme une admiration. Malgrè la difficulté de sa naissance, l’enfant n’avait pas tué sa génitrice. Et chose incroyable, la jeune fille était la seule à pouvoir calmer le bébé. Sa seule présence rassuré Ame.
Très vite, les deux jeunes filles devinrent inséparable.
Si Ame ne représentait en rien le déluge qui l’avait vue naitre, Setsu elle, paraissait à beaucoup la parfaite illustration de son prénom. Lorsqu’on lui parler, on avait l’impression de s’adresser à un bloc de glace. Elle n’en était pas moins gentille, juste très distante, un peu froide dans son rapport au gens.
A cet âge déjà, 12 ans, Setsu faisait part d’incroyable prouesse physique et cérébrale. Sans pour autant le dire, Monsieur Kougetsu estimait sa fille… Elle était le portrait craché de la défunte… Et il exprimait une certaine fierté pour sa fille. Il en était de même avec sa deuxième fille, qu’il choyer bien plus que la première. Ame était belle, douce et généreuse. Intelligente, elle admirer par-dessus tout sa grande sœur pour qui elle avait une affection sans limite.
Les deux filles avait tout juste trois ans d’écart et pourtant, elle passer tout leur temps toutes les deux. La cadette était la seule personne avec qui Setsu brisait la glace.
Madame et Monsieur Kougetsu portait toute leur attention sur la plus jeune. Non pas qu’ils n’aimaient pas la deuxième, juste qu’ils n’avaient jamais pris avec elle l’habitude de lui montrer l’amour qu’il portait. De plus, dans une parfaite famille japonaise, Setsu représentait le passé raté du père.
A 16, l’ainé était l’idole de l’établissement dans lequel elles étaient. Les garçon la respectait pour ses talent sportif mais également pour son aisance en cours. Loin d’être laide, elle attisait beaucoup d’envie chez ses camarades. Sa sœur subissait le même traitement. Non pas qu’elle fut doué en sport, mais son aisance avec les gens, sa douceur et sympathie envers le monde, lui valait d’être aimer par tout le monde.
Autrement dit… elles avaient une vie presque parfaites, un brillant avenir. Une place dans ce monde.
Mais voila… les choses devinrent d’une extrême complexité.
Un soir d’hiver, alors que les parents des jeune filles étaient en voyage en France pour deux semaines, un jeune homme, de la même classe que Setsu vint interrompre les deux sœurs.
L’ainé ordonna à sa cadette de rentrée sans elle. Se fut la première fois, sans désobéir la plus jeune s’en alla attendre l’autre chez elles.
Le jeune homme avoua son amour flambant pour sa camarade. Le choque ne fut que de courte durée, et tout en délicatesse, la fille déclina ses sentiments.
Sur le retour… Elle s’interrogea sincèrement sur ce quel ressentait. Nagi, l’homme en question était tout aussi parfait que son père. Brillant, sportif, il était tout ce qu’on pouvait attendre d’un copain.
Il fallait se dépêché, Ame était seule à la maison… Ame… Setsu n’avait eu d’yeux que pour elle depuis toujours. En tant que sœur bien évidement… Enfin… Elles étaient sœurs… non demi-sœur… et puis quoi, c’était la même chose. Et c’était une fille… sa sœur…
Comprenant rapidement le mal qui la rongeait, Setsu préféra avorter de tout sentiment pour sa cadette.
Le jour suivant elle accepta de sortir avec Nagi. Et tout commença à ce moment là. La semaine instaura entre les deux filles une gène, une distante. Le soir, Ame rentrait seule, Setsu restait avec Nagi.
Samedi soir, la grande sœur rentra tard dans la soirée. La maison semblait vide… Débordée par un très mauvais sentiment, elle s’empressa de fouiller la maison. Ame était étendue dans la salle de bain, à moitié nue dans une flaque de sang. Ses poignés continuaient de couler. Elle s’était ouvert les veines.
Setsu, le génie, sauva sa sœur. C’est alors, lorsque la plus jeune se réveiller, visiblement déçut d’être en vie, qu’elle pleura la vérité terrible qui la rongeait depuis si longtemps.
Setsu rompis avec Nagi.. Et la relation entre les deux sœurs se développa doucement, secrètement. Durant l’absence des parents, elles vivaient heureuses. Les questions éthiques étaient soigneusement oubliés pour ne retenir qu’un chose… leur amour mutuel. Et elles auraient pu continuer longtemps.
Un ans et demi après leur confession, les parents repartirent pour un long voyage. Ame n’attendait que ça. Monsieur et Madame Kougetsu, n’étaient pas dupe, ils avaient remarqué que leur filles étaient très lié, sans pour autant se douter du pire. Durant leur vacances, Madame Kougetsu tomba malade, les adultes rentrèrent chez eux bien avant la présumé date retour.
La surprise fut grande lorsqu’ils découvrirent leur filles s’embrasser tendrement. Et la sanction tomba très vite. La coupable ne pouvait pas être la plus jeune, fragile et si douce, mais bien évidement l’ainée qui ayant perdue sa mère était très instable. Le résonnement des parents furent irrévocable, Ame avait était contrainte par l’autre malade mentale d’assouvir ses pulsions. Setsu ne nia pas, ne voulant compromettre l’avenir de sa sœur, elle acquiesça et mentis à sa petite sœur en lui racontant les pires horreurs afin que cette dernière l’oubli.
Setsu fut placer en maison de redressement. Loin de sa famille, loin de celle qu’elle aimait tant, elle perdit gout à tout petit à petit. L’idée que sa famille la détestait lui était égale, mais imaginer Ame la haïr lui briser le cœur. Deux mois après son incarcération, Ame se rendit à l’école de son oneechan. Secrètement elle vit sa grande sœur. Setsu ne la regardait plus en face, avec une certaine indifférence, elle écouta la visiteuse. Au bout de dix minutes, lorsque Ame perdit tout espoir d’avoir une réponse de celle avec qui elle avait été si heureuse, elle déclara sèchement :
« Si tout ce que tu m’as dis est vrai… si tu me déteste vraiment, que tu t’es jouer de moi… alors dis le moi »
Silence
« Dis moi une dernière fois que tu ne veux plus jamais me voir… »
Setsu regarda intensément sa sœur… ses lèvres refusaient de dire un tel mensonge… Mais c’était le seul moyen de la protéger. Tiraillée entre ses sentiments et ce qu’elle devait dire, l’ainée rester silencieuse.
Les deux sœurs étaient tout juste séparé d’une grillage. La grande dans la cours de sa maison de redressement, la plus jeune dans la rue. Quelques centimètres tout juste entre elles…
Le silence creusait cette distance. Les larmes aux yeux, Ame cria :
« DIS MOI QUE TU NE MAS JAMAIS AIM… »
« je ne veux plus jamais te revoir… »
Avant que tout devienne plus compliqué… avant que ce ne sois trop tard, Setsu interrompit sa sœur pour lui soufflait son plus grand mensonge.
La plus jeune se tue… cette réponse n’était pas ce à quoi elle s’attendait… Les yeux ronds, la bouche grande ouverte, elle tressaillit posant ses mains sur la grille d‘acier. Son cœur venait de s‘arreter, son estomac se soulevait. Si elle avait fait tout ce voyage c‘était qu‘elle croyait tellement en tout ce qu‘elles avaient vécu…elle articula faiblement :
« … je…. Je me fou de papa et maman… dis moi que tu m’aime et on se sauve… dis le moi… ensemble… on serais juste ensemble »
Les yeux de Setsu étaient secs… Ce qu’elle voulait le plus au monde c’était être avec elle… Mais aussi grand était son amour, jamais elles ne vivraient heureuse… Et bien plus fort que l’amour qu’elle lui porter, Setsu voulait voir Ame heureuse. Alors elle se tourna, en articulant clairement pour une dernière fois :
« je ne veux plus te revoir ».
Ame se mit à pleurer. Elle aurait tout donné pour que son entendre Setsu lui répondre différemment. La menteuse, s’écartait de plus en plus… Et avec elle tout espoir… tout ce qui la rattacher à la vie.
Le plus horrible des son est sans aucun doute, le bruit du corps percutant lourdement le sol. Celui des freins brulant la route… Celui des cris avoisinant le drame.
Setsu se retourna, deux minutes trop tard. Sa sœur s’était jeté sous une voiture.
Coupable selon ses parents, selon elle-même, elle fut placer dans un établissement plus spécialisé. Devenu extrêmement violente avec elle-même, ses parents l’effacèrent définitivement de leur vie. Setsu en fit de même, elle oublia maladivement tout ce qu’elle pu… mais le plus cruellement possible, son cerveau refusa d’effacer le visage implorant de sa sœur.
C’est tout ce qu’il lui reste, se visage lui suppliant de l’aimer… ce visage, celui de Ame.
Saison préférée : l’automne.
Mot préféré : c’est pas pour ce qu’elle parle…
Expression préférée : J’ai envie de dire, la même chose que plus haut
Plat préféré : A ça par contre ! Setsu affectionne tout particulièrement les plat simple comme le Katsu don, Teriyaki don… mais ce qu’elle préfère sans aucun doute ce sont les gyozas. Petit raviolit, c’est l’unique nourriture qu’elle pouvait gober par dizaine. Maintenant... il est vrai qu'elle ne mange plus beaucoup.
Relations : ha ha ha… aucune (sauf si quelqu’un veut être mon ami XD) Non non plus sérieusement aucune.
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Pseudo : Setsu c’est pas mal, si vous voulez un autre pour distinguer le personnage du joueur… allons pour Aki
Comment as tu trouvé ce forum ? Ha ha ha !
Ta note sur 10 : Bha…. C’est pas trop mal, d’apparence comme ça, je dirais 8/10, quelque petites améliorations et ça décoche les 10 ! =3
Code : "je prendrais ton âme"
Avatar trouvée ! fiche ok... attends âme charitable pour valider ^^ | |
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